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My opinion on TWISTERS 🌪️ – No spoilers

Mon avis sur TWISTERS 🌪️ – No spoilers

#opinion #TWISTERS #spoilers

“Lily S’ennuie”

Storms are back in theaters, 28 years after Twister, can a sequel revive interest in tornado chasing? Where is Twisters once again a nostalgic-useless sequel? I’ll tell you everything, without spoilers! Leave your opinion in comments, I read them all!…

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38 Comments

  1. Ce qui etonnant lily, c est j'ai pris l'habitude d avoir lily blasé ou lily deçu ,que ca me fait bizarre de voir lily heureuse . J'ai pas encore vu le film mais c'est prevu en imax

  2. Twisters 2024 5/10 .. les tornades, bof… que des gros plans…tu vois rien … le pire la scene des doubles Tornades ahaha ridicules…30 secondes ! euh dans le 1er en 1996 double tornades sur l'eau ! effet speciaux de l'poque c'était nettement mieux que celui de 2024… bizarre Beaucoup moins d'actions que dans le premier, qui fait toujours 'Wouah' même aujourd'hui ! Alors que là, ce n'est pas très bon. La seule bonne chose, c'est d'avoir supprimé le triangle amoureux du premier qui n'était pas nécessaire.

  3. me essayant de déchiffrer les mangas derrière tellement que j'ai du revoir la vidéo xD sinon super film je suis allé le voir hier en imax et c'était vraiment une bonne surprise !

  4. L’héroïne. Une ancienne chasseuses de tornades … elle a 20 ans … 🤷‍♂️ enfin elle fait trop jeune quoi 😢
    Dire que les effets du premier Twister sont pas top …. Vu de quand il date 😮
    C’est fort …
    Pour l’époque c’était impressionnant 🤩.
    Mais c’est vrai que depuis les années 2000 les films catastrophes explosent ça devient commun

  5. Vue en IMAX sans hésiter j'ai bien aimé sans avoir en tête TWISTER des années 90 's ou a le comparer.
    Un bon film blockbuster d'été 👍🏻
    PS : Et dire que le pensement sur le front je pensé que c'était lié au film a clin d'œil film catastrophe 🤦🏻🩹😂

  6. 1. J'ai vu ce film et honnêtement j'ai kiffé, ça été une bonne surprise, bon moment passé au ciné. La bande son on a euvle droit à de la country et perso j'adore cette musique. Bon film pour moi, je recommande.
    2. Superbe analyse comme toujours.
    P. S. Je me permets mais tu es très en beauté (comme toujours).

  7. Hantise la seconde plus grosse réussite de Jan de Bont ? Tu rigoles ? Déjà, ce film est descendu en flammes par la majorité des spectateurs, mais surtout, le meilleur film de Jan de Bont avec Twister juste derrière, c'est évidemment Speed !

  8. Salut, tu m'as convaincu de le regarder ce film, parce que j'étais très hésitant 😊 Au début le pansement je pensais que tu t'étais pris quelque chose à cause d'une tornade 😂 ( Je sais… blague nulle 😅) 🩹
    J'aime toujours autant tes scènes post-générique 😆
    À bientôt.
    👋🇫🇷👩🥤🐈‍⬛❤📽🌐🎞😘

  9. … Suite :

    "…Sur la couleur pose tes mains
    Et tes pieds
    Sans bouger
    Avec Twister"

    Le premier film avait la mention "Par les producteurs de Jurassic Park"…
    Celui-là a "Par les producteurs de Jurassic World".
    Est-ce que ça veut dire qu'on va avoir une énième suite tardive-remake-fan service… et trop dévitalisée ? Il y a un peu de ça.
    Mais on peut porter au crédit de ceux qui ont été en charge de ce projet (dont Joseph Kosinski, déjà derrière les grands retours de "Tron" et "Top Gun") d'avoir élagué toutes les références explicites au film original, évitant ainsi le genre de lourdeurs qu'on trouve dans les deux derniers "Ghostbusters".
    Et que le réalisateur Lee Isaac Chung, qui a d'ailleurs été élevé dans le Midwest, n'oublie pas de se concentrer aussi sur le côté intimiste, comme à son habitude.
    Sauf que ce "Twisters" tombe alors dans un excès inverse, puisqu'il a beau se passer dans le même univers (a priori, puisqu'on a le module "Dorothy"), il ignore de manière éhonté tout l'apport historique qu'ont apporté les personnages du premier volet… et on se retrouve alors avec un manque de consistance dès lors qu'il n'y a pas le moindre chasseurs de tornades vétérans dans les parages – ni Helen Hunt, qui voulait faire sa propre version avec l'équipe de "Blindspotting", ni même un des nombreux seconds rôles toujours vivants (encore une fois, ce sont des supers acteurs).

    Manque de cohérence aussi, puisque le personnage qu'incarne Daisy Edgar-Jones semble manifestement avoir été conçue comme la fille de Jo et Bill Harding, additionnant toutes leurs particularités mais sans être finalement leur descendance :
    Elle est blonde (alors que l'actrice est naturellement brune), fait encore plus gamine mais est un chef naturel, a un traumatisme passé et finit par passer la même garde-robe que Jo – et on peut facilement tomber amoureux d'elle…
    Elle "sent" les tornades, revient d'abord temporairement dans son pays après avoir cherché la tranquillité chez les citadins, pour mieux finir ce qu'elle a jadis commencé et retrouver le goût de l'aventure, comme Bill.
    Et aussi comme dans ces films où des jeunes femmes carriéristes doivent choisir entre une vie de rond de cuir dans une grande ville, et une vie en jeans chez les cowboys – avec un petit ami potentiel dans chacune de ces existences.
    Vous savez très bien ce que (et qui) elle va choisir, même si ce film là va se montrer très prude (Spielberg a imposé qu'on coupe un baiser final ? par peur des hormones ?).

    Étrangement le personnage de Jonas, rival arrogant du premier film, se retrouve lui divisé en deux :
    L'un est le chef des rivaux, un amoureux malchanceux et entrepreneur, désespérant – et Anthony Ramos rajoute une autre suite-remake peu pertinente à sa filmographie.
    L'autre c'est Glen Powell, l'acteur qui a plus de menton que d'yeux (bref une grande gueule née)… Sauf que lui il est très cool, pas seulement parce qu'il fait encore son numéro de mâle alpha frimeur, moins con qu'il n'en a l'air. Mais il représente aussi un héros viril à l'ancienne, très compétent, sérieux quand il le faut, qui sait ce qu'il fait etc. Ça fait toujours plaisir à voir dans un paysage cinématographique à la Chalamet.
    Donc c'est aussi une comédie romantique, un poil screwball (y a du Cary Grant là dedans) mais qui fonctionne sans un tempo soutenu… ce qui sera toutefois moins intéressant que la comédie de remariage du précédent film, où les amoureux y ont déjà un Passé et ont peu de temps pour se décider. Là au contraire les protagonistes ont tout leur temps, ça fait de l'urgence en moins dans le rythme du long-métrage.

    Dommage par contre que les seconds rôles de cet opus ne soient pas aussi bien traités cette fois, Chung ayant complètement loupé le coche avec Sasha Lane (pourtant connue depuis des années), Katy O'Brian (juste après la sortie de "Love Lies Bleeding", pas de bol) ou David Corenswet, dont le stoïcisme idiot le réduit bien à être un sous-Henry Cavill.
    Non seulement ils n'ont pas grand chose à jouer à part les mêmes partitions collégiales (les gentils se marrent tout le temps, les autres sont des coincés), mais ils sont tous coulés dans le même moule homogène, sans personnalité, interchangeables. On y ajoute juste des équipements modernes, des gadgets pour faire le show, l'utilisation des réseaux sociaux aussi bien pour faire de la promo que pour alerter la population, et une identité un peu plus texane, mais c'est tout.
    Quant au propos social du film, où on pointe du doigt ceux qui profitent des catastrophes au lieu d'aider tout de suite les sinistrés, non seulement il est très prévisible mais en plus c'est un élément scénaristique basique aujourd'hui, qu'on peut caser n'importe où.
    Indispensable depuis qu'on a eu notre lot d'images de populations sinistrées à cause de catastrophes environnementales. Suffisamment mis en avant dans ce film pour se sentir concerné, sans que ça n'entame trop le côté spectaculaire.

    Donc suite-remake ou reboot, qui ne marche certainement que parce que l'original a presque trente ans… Il y en a que ça peut rebuter de voir l'ancien, par peur de comportements d'antan qui seraient moins appropriés aujourd'hui. Ou de mode ringarde. Ou bien d'effets spéciaux trop obsolètes – sauf qu'entre les deux, y a pas photo : visuellement, c'est très très similaire, il n'y a rien de neuf, les tornades sont créées et représentées identiquement (c'est à peine plus lisible), les effets de destruction mélangent toujours le réel et le virtuel etc. Un peu plus réaliste, rognant la partie "Surnaturelle" associée à ses monstres aériens (le son est moins grondant, moins agressif). Même l'apparition d'une tornade "diabolique", faite de flammes, ne dure pas assez longtemps pour ajouter un niveau supplémentaire de menace – l'enjeu étant maintenant de trouver un moyen de détruire ces tornades.
    Et le déroulé scénaristique ne varie pas non plus, avec la même rivalité (inoffensive) entre les amateurs débrouillards et ceux qui se reposent trop sur la technologie. Jusqu'à reprendre plein de dialogues, à la ligne près ("Content que tu sois revenue ! – Je reviens pas !")… Et même plein de scènes, dont celle de la salle de cinéma mais en en changeant le sens, passant de la terreur nocturne à l'objet méta un peu chic (le "Frankenstein" de James Whale, le Quatrième Mur – ceux qui verront le film en 4DX vont être aux anges).

    Le charme que peut générer ce film envers les non-initiés, c'est en fait celui de 1996 mais en moins rythmé, moins galvanisant (pas trace des supers thèmes musicaux de Mancina), moins brutal, moins fou…
    Les initiés eux risquent de trépigner régulièrement devant une intrigue qui peine souvent à avancer.
    Mais d'ici à ce que une suite soit lancée (plus ambitieuse ? plus véloce ? avec enfin quelques vétérans dans le lot ?), on peut au moins profiter d'un film d'aventure secrètement écolo, secrètement midinette, pas très boursouflé, très américain et avec toujours ces super paysages à perte de vue.

  10. "Twister c'est parti
    Les fous rires sont garantis
    Avec Twister…"

    Un film qui, dans les années 90 – et notamment cette année 96 – était une proposition atypique parmi tous les films Catastrophe, redevenus à la mode à ce moment là. Et Personne ne semble avoir fait en sorte de comprendre ce que c'était vraiment.
    D'abord, la menace en titre, ces Tornades :
    En préambule on peut signaler une certaine cohérence dans le studio Universal, pourvoyeur de quelques bons films Catastrophe prompts à alimenter les parcs d'attraction éponymes, et qui en a souvent produit certains dans lesquels les cataclysmes ont l'allure d'être vivants. Déjà "Backdraft" ajoutait des sons bestiaux au Feu, nous présentant celui-ci comme une entité ("mon animal"… "ça respire, ça mange, et ça hait"). Puis Spielberg lui-même nous sort ses dinosaures, mi animaux à protéger, mi monstres dévoreurs.
    Alors quand Jan de Bont a filmé ses tornades, il les a montré de la même manière : des créatures sauvages de la Nature, à chasser… des géants, des Titans, terrifiants (l'une d'entre elle attaque de nuit, pendant une projection en plein air de… "Shining"), Céleste ("à quoi peut ressembler une F5 ? – au doigt de Dieu").
    Aller vers le danger, puis mettre à l'abri tout le monde avant une série de destructions plus ou moins arbitraires (la tornade donne l'impression de vous suivre si vous la provoquez)… c'est un tantinet un film de Kaijus.

    Ensuite, il y a la force du casting :
    Un duo bien équilibré entre Helen Hunt, ici dans drôle de mélange entre Linda Hamilton et Jodie Foster… un peu femme-enfant aussi (elle a subi un trauma un peu basique quand elle était petite), irradiante et pugnace et c'est vraiment dommage que l'actrice n'ait plus jamais joué de rôles d'action comme celui-là, tellement elle était top. En plus, on peut facilement tomber amoureux d'elle.
    Et de son côté Bill Paxton joue un étonnant décalque de André Dussollier (le ton péremptoire, les costards clairs, les cheveux hérissés, les dents en avant), mais en version américaine virile.
    Quant aux autres, loin d'être des clowns exaspérants il s'agit surtout de la crème des seconds rôles américains. Tous les visages qu'on voit là, on les a déjà vu quelque part et on les a apprécié, même sans connaître leurs noms.
    Des Alan Ruck, Joey Slotnik, Jeremy Davies etc etc, même chez les scientifiques rivaux, avec Abraham Benrubi qui passe une tête (c'est une prod Spielberg, comme "Urgences"). Sans compter cette curiosité : Philip Seymour Hoffman (le seul qui deviendra une star, tout en continuant d'être un excellent second rôle) qui fait du Jack Black avant Jack Black.
    Ils sont tous caractérisés en une poignée de détails, par exemple leurs attitudes, assez différentes (bien que tous rigolos, il y en a qui seront plus mesurés, et d'autres qui planent complètement)… ou bien lors de cette course dans laquelle chacun va écouter son type de musique préférée (Hoffman a des tas d'écrans dans son van et se passe un clip de Deep Purple, un autre écoute Guillaume Tell de Rossini, deux autres chantent à tue-tête "Oklahoma !")…
    Tout ça a une ambiance sacrément jeune, cool, outsider et avec plein de bagout (scientifico écolo grunge). Très simple – les doux-dingues adeptes du Système D contre les fans de High-tech – mais sans qu'il y ait de réel antagonisme entre gentils et méchants.
    Et on peut imaginer que Tous seraient la version adultes des jeunes héros Amblin, continuant ainsi de pourchasser des phénomènes incroyables… c'est beaucoup un film d'aventures.

    Et enfin, il y a le rythme :
    De Bont garde la même logique que son "Speed", à savoir un film qui est tout le temps en mouvement, tout le temps dans l'urgence, trépidant (merci aussi aux musiques de Mark Mancina et Van Halen), faisant quelques petites pauses bucoliques avant de se relancer de plus belle, et ne s'arrêtant jamais avant d'être arrivé à bon port.
    Il y a bien sûr la poursuite des tornades, qui ressemble aussi bien à de la capture de pure-sangs qu'à un acte kamikaze – et pas fait pour les douillets et ceux qui ont peur de se salir. À cela s'ajoute une compétition avec des concurrents (et plagieurs, et coincés) pour savoir qui va recueillir des tas de données précieuses en premier, pour le bien des habitants du Midwest et la gloire qui va avec.
    Et aussi une sous-intrigue, mais qui en fait centrale au film : Paxton revient juste pour signer les papiers du divorce et commencer très vite une vie plus tranquille… et évidemment va se rendre compte, au fur et à mesure qu'il accepte de faire marcher le projet scientifique de sa vie, qu'il a toujours un talent inné pour "sentir" la formation de tornades, qu'il est toujours accroc à l'adrénaline, et que son ex et lui s'aiment toujours… c'est bien un joli film de remariage.
    Dans des paysages qui ont eux-aussi un charme étrange, composés de plaines vertes aussi immenses que le ciel, et où pourtant le danger le plus colossal arrive à se cacher et vous surprendre…
    C'est LE film de tornades, avec des gens biens, de l'entraide, de bonnes valeurs et une menace exponentielle qui provoque la fascination.

  11. J'ai vu ce nouveau twister hier et je suis totalement d'accord avec ton avis! Un très bon moment ! C'est ce dont j avais besoin et pas déçu (oui évitant les clichés) la voiture foreuse pour se planter au sol je ne savais pas si c'était "réel" Bref agréable moment Et pour avoir vu le 1 en salle (oui ca ne me rajeunit pas😂) j'ai préféré ce 2eme opus qui ne joue pas trop cette fibre nostalgique

  12. Excellente vidéo sinon moi j'avais adoré le premier à l'époque et j'ai passé un excellent moment devant celui-là et je l'ai vu en IMAX donc c'était encore plus immersif.
    T'as bien raison de te mettre au vert ça fait toujours du bien j'ai aussi pris deux semaines de vacances 😊

  13. Bien que je reconnaisse beaucoup de qualités au film, y a certaines lignes de dialogues qui sont vraiment moyennes. Notamment avec le personnage de Ben. Et certains personnages sont assez inutiles je trouve.
    Heureusement que le duo d interprètes fonctionnent bien et que le film a beaucoup de budget avec de bons FX

  14. Le vent que se prend Speed (de très loin le meilleur film de Jan de Bont)… 😂
    Le Twister original n’avait rien d’exceptionnel (malgré des vaches volantes en proto-CGI). Je ne comprends pas l’intérêt d’en faire une suite, Hollywood racle vraiment les fonds de tiroir là…

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